Fantasia
★★★★★
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Synopsis
Le film est composé de huit séquences qui illustrent des Morceaux de musique.
Après la présentation de l’orchestre et de son chef, les instruments disparaissent pour laisser place à des lignes et des taches de couleur qui évoquent la…
TOCCATA ET FUGUE EN RE MINEUR (Bach) réal. Samuel Armstrong
La musique y est décrite de façon abstraite et, sur l’écran, ambiances colorées et formes en mouvement suivent les tonalités et les rythmes du morceau.
LE BALLET DE CASSE-NOISETTES (Tchaïkowski) réal. Samuel Armstrong
Le ballet est divisé en six tableaux, où, du printemps à l’automne apparaissent des fées, des champignons, des plantes, des poissons sur des mouvements de danses chinoise, arabe et russe pour se terminer par la valse des fleurs.
L’APPRENTI SORCIER (Paul Dukas) réal. James Algar
Mickey, en l’absence de son maître le magicien, enfile sa défroque et donne des ordres aux objets. Il envoie son balai quérir de l’eau à la fontaine mais ne sait pas arrêter ce mouvement. Quand l’innondation menace il brise le balai dont les morceaux vont à leur tour remplir et vider des sceaux sur le crescendo de la musique. Ce cauchemar est interrompu par le retour du magicien qui remet tout en ordre et rend Mickey à sa destinée de porteur d’eau.
LE SACRE DU PRINTEMPS (Stravinski) réal. Bill Roberts et Paul Satterfield
Une explosion solaire fait bondir un morceau 1 de matière qui se solidifie en un globe de feu où éclatent des volcans, où bouillonnent des laves: la terre. La vie naît dans l’océan, des animaux se mettent en mouvement, les monstres préhistoriques apparaissent, se battent et meurent. Une terrible sécheresse, une immense convulsion, des montagnes surgissent, des mers se creusent et c’est le printemps de la terre.
LA SYMPHONIE PASTORALE (6e Symphonie Beethoven) réal. Hamilton Luske, Jün Handley et Ford Beebe
La symphonie est illustrée par des scènes mythologiques: c’est la fête de l’Olympe avec les faunes, les amours, le char d’Apollon et, aussi, les colères orageuses de Jupiter.
DANSE DES HEURES (Poncielli) réal. T. Hee et Norman Ferguson
Cette musique très connue a inspiré une parodie de la danse classique. Les danseuses étoiles y sont des autruches et des hippopotames. Elles reconstituent de façon caricaturale, en compagnie d’éléphants et de crocodiles, les mouvements traditionnels du ballet.
UNE NUIT SUR LE MONT-CHAUVE (Moussorgski) et AVE MARIA (Shubert) réal. Wilfred Jackson
Passant de la nuit au jour, de l’eau forte au pastel, cette séquence finale présente une fête diabolique qui s’enchaîne sur un chant de ferveur et d’espoir.
Au milieu du film un intermède présente la piste sonore c’est-à-dire le graphisme formé par les vibrations sonores de l’enregistrement.
Après la présentation de l’orchestre et de son chef, les instruments disparaissent pour laisser place à des lignes et des taches de couleur qui évoquent la…
TOCCATA ET FUGUE EN RE MINEUR (Bach) réal. Samuel Armstrong
La musique y est décrite de façon abstraite et, sur l’écran, ambiances colorées et formes en mouvement suivent les tonalités et les rythmes du morceau.
LE BALLET DE CASSE-NOISETTES (Tchaïkowski) réal. Samuel Armstrong
Le ballet est divisé en six tableaux, où, du printemps à l’automne apparaissent des fées, des champignons, des plantes, des poissons sur des mouvements de danses chinoise, arabe et russe pour se terminer par la valse des fleurs.
L’APPRENTI SORCIER (Paul Dukas) réal. James Algar
Mickey, en l’absence de son maître le magicien, enfile sa défroque et donne des ordres aux objets. Il envoie son balai quérir de l’eau à la fontaine mais ne sait pas arrêter ce mouvement. Quand l’innondation menace il brise le balai dont les morceaux vont à leur tour remplir et vider des sceaux sur le crescendo de la musique. Ce cauchemar est interrompu par le retour du magicien qui remet tout en ordre et rend Mickey à sa destinée de porteur d’eau.
LE SACRE DU PRINTEMPS (Stravinski) réal. Bill Roberts et Paul Satterfield
Une explosion solaire fait bondir un morceau 1 de matière qui se solidifie en un globe de feu où éclatent des volcans, où bouillonnent des laves: la terre. La vie naît dans l’océan, des animaux se mettent en mouvement, les monstres préhistoriques apparaissent, se battent et meurent. Une terrible sécheresse, une immense convulsion, des montagnes surgissent, des mers se creusent et c’est le printemps de la terre.
LA SYMPHONIE PASTORALE (6e Symphonie Beethoven) réal. Hamilton Luske, Jün Handley et Ford Beebe
La symphonie est illustrée par des scènes mythologiques: c’est la fête de l’Olympe avec les faunes, les amours, le char d’Apollon et, aussi, les colères orageuses de Jupiter.
DANSE DES HEURES (Poncielli) réal. T. Hee et Norman Ferguson
Cette musique très connue a inspiré une parodie de la danse classique. Les danseuses étoiles y sont des autruches et des hippopotames. Elles reconstituent de façon caricaturale, en compagnie d’éléphants et de crocodiles, les mouvements traditionnels du ballet.
UNE NUIT SUR LE MONT-CHAUVE (Moussorgski) et AVE MARIA (Shubert) réal. Wilfred Jackson
Passant de la nuit au jour, de l’eau forte au pastel, cette séquence finale présente une fête diabolique qui s’enchaîne sur un chant de ferveur et d’espoir.
Au milieu du film un intermède présente la piste sonore c’est-à-dire le graphisme formé par les vibrations sonores de l’enregistrement.
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- VO - VF - VOSTFR à partir de 3,99 €
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- VO - VF - VOSTFR à partir de 9,99 €
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