Un groupe de touristes étrangers arrivent pour visiter Paris, parmi eux, une jeune fille américaine enthousiaste et curieuse. En atterrissant à Orly, ils se retrouvent dans un aéroport presque identique à celui de leur pays d’origine. Ils montent dans un autocar qui les dépose à leur hôtel, immense building au coeur d’un vaste ensemble de constructions similaires, bureaux, stands d’exposition. De son côté M. Hulot part à la recherche d’un chef de service qui lui échappe continuellement dans ce dédale de couloirs, d’ascenseurs et de trompeuses baies vitrées. Le soir venu, Hulot n’a pu rencontrer son interlocuteur mais a fait la connaissance d’un directeur de stand allemand, particulièrement excité. C’est alors qu’il retrouve un ami de régiment qui l’invite dans son luxueux rez-de-chaussée avec vue panoramique au niveau des passants. Il réussit enfin à prendre congé et déambule dans les rues où le chasseur du  » Royal garden « , une vieille connaissance, l’invite à l’inauguration du restaurant. Ils retrouvent là les touristes à qui l’on montre le  » gai Paris ». La soirée se déroule ans l’affolement le plus complet, parmi un personnel débordé. Par suite d’une méprise, il fait la connaissance de la jeune américaine sur la piste de danse. Ils restent ensemble jusqu’à l’aube avec un groupe de convives éméchés… Mais à l’heure du départ de l’avion, Hulot, prisonnier d’un guichet automatique, ne pourra faire ses adieux à son amie.