Jacques Laurent a réalisé une quarantaine de films pornographiques dans les années 1970, avant de mettre fin à sa carrière en 1984. Jusqu’au jour où des difficultés financières l’obligent à reprendre du service. Mais les règles du métier ont entre-temps beaucoup changé et Jacques a bien du mal à imposer sa vision artistique au producteur, qui préfère raisonner en termes de rapidité et d’efficacité. Lors d’une pause, le metteur en scène se laisse aller à quelques confidences avec l’une des actrices, Jenny. Il lui raconte que son fils, Joseph, lui a tourné le dos après avoir découvert la profession qu’il exerçait. C’est le moment que choisit ce dernier pour reprendre contact avec son père…