''Avec Cuba Feliz, (quinzaine des réalisateurs), Karim Dridi suit en caméra DV un vieux chanteur de rues cubains, El Gallo. Ensemble ils croisent des rappers, des chanteuses, de jazzmen.

Chaque rencontre provoque un mini-boeuf semi-improvisé. Le film, modeste et pêchu, enchaîne les happenings musicaux et réussit un attachant portait du bonhomme sans recourir à la technique de l'interview.'' Libération



''Entre documentaire et fiction, Karim Dridi invite à une découverte non seulement musicale mais aussi humaine. Il s'est attaché à ceux de la rue, par petite touches impressionnistes et sensuelles. Ses personnages sont joyeux, hauts en couleurs, en dignité et en humanité.'' Le Figaro



''Qui aime Cuba, qui aime la musique cubaine si généreusement dispensée ici ne saura demeurer indifférent à Cuba Feliz.'' L'Humanité



''Le film a surtout le mérite de ne pas nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Il ne suggère pas qu'un virtuose dort dans chaque masure. A quoi pense la femme obèse qui roucoule une bluette dans son taudis? Le mystère reste entier, les rigueurs sociales opaques.''

L'Express (Suisse)'