Mes meilleurs copains
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Synopsis
Cinq amis, à l’approche de la quarantaine, retrouvent, le temps d’un week-end passé à la campagne, dans la maison de l’un d’eux -Richard – celle qui vingt ans plutôt éclaira leur jeunesse et qui, depuis, est devenue la célèbre rock-star québécoise Bernadette Legranbois, à Paris pour un récitai à l’Olympia.
En cette époque où tous arboraient idées et comportement gauchistes, Bernadette faisait du théâtre révolutionnaire dans les usines avec son metteur en scène et amant, Antoine. Richard et Jean-Michel s’étaient joints à eux, ce dernier devenant à son tour l’amant de Bernadette, tandis qu’Eric Guidolini, dit » Guido « , les initiait aux drogues douces, aux moeurs libérées, et devenait le chanteur de leur groupe rock. Ils étaient tous si mauvais – à l’exception de Dany, guitariste » cool » – que Bernadette dut accepter de se séparer d’eux lorsque celui qui allait devenir son manager, Lou Bill Baker, lui proposa une carrière prometteuse.
Aujourd’hui qu’ils sont tous socialement bien rangés – sauf Dany, curieusement, qui vit aux crochets de Richard en échange de quelques services – c’est déjà l’heure des bilans et des quatre vérités : les rapports d’Antoine avec les femmes, dominateurs et finalement malheureux, qui le poussent jusqu’à l’envie de meurtre par excès de jalousie; la (volontaire) solitude sexuelle de Guido depuis six ans; l’hypocrisie du prétendu fidèle Richard dont les autres découvrent maintenant seulement qu’il fut lui aussi l’amant de Bernadette. Il tente d’ailleurs – sans succès – de renouer avec elle. JeanMichel par contre, y parvient, mais laborieusement…
Pour le petit groupe, rejoint par Monique et Sabine, deux amies de Richard, le week-end s’achève par une folle nuit à l’issue de laquelle Bernadette doit repartit.
En cette époque où tous arboraient idées et comportement gauchistes, Bernadette faisait du théâtre révolutionnaire dans les usines avec son metteur en scène et amant, Antoine. Richard et Jean-Michel s’étaient joints à eux, ce dernier devenant à son tour l’amant de Bernadette, tandis qu’Eric Guidolini, dit » Guido « , les initiait aux drogues douces, aux moeurs libérées, et devenait le chanteur de leur groupe rock. Ils étaient tous si mauvais – à l’exception de Dany, guitariste » cool » – que Bernadette dut accepter de se séparer d’eux lorsque celui qui allait devenir son manager, Lou Bill Baker, lui proposa une carrière prometteuse.
Aujourd’hui qu’ils sont tous socialement bien rangés – sauf Dany, curieusement, qui vit aux crochets de Richard en échange de quelques services – c’est déjà l’heure des bilans et des quatre vérités : les rapports d’Antoine avec les femmes, dominateurs et finalement malheureux, qui le poussent jusqu’à l’envie de meurtre par excès de jalousie; la (volontaire) solitude sexuelle de Guido depuis six ans; l’hypocrisie du prétendu fidèle Richard dont les autres découvrent maintenant seulement qu’il fut lui aussi l’amant de Bernadette. Il tente d’ailleurs – sans succès – de renouer avec elle. JeanMichel par contre, y parvient, mais laborieusement…
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