
Il etait une fois le bronx
★★★★☆
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Synopsis
1960. Calogero Anello, fils d’un conducteur d’autobus, habite la section italienne du Bronx. Ses parents, Rosina et Lorenzo, ont beau représenter l’autorité morale, il ne peut s’empêcher d’être fasciné par les «affranchis» qui fréquentent le bar voisin, en particulier Sonny, le chef mafioso. Un jour, Calogero voit un automobiliste en attaquer un autre à coups de batte de base-ball. Sans la moindre hésitation, Sonny vide son revolver sur l’agresseur. Sommé par la police de désigner le meurtrier, l’enfant respecte la loi du silence, gagnant ainsi l’amitié et la reconnaissance de Sonny. Dès lors, celui-ci devient comme un second père, qui lui procure, parallèlement à son éducation traditionnelle, une précieuse «éducation de la rue». Inquiet de voir son autorité paternelle sapée, Lorenzo tente de faire comprendre à son fils la noblesse et l’héroïsme d’un travail honnête, si modeste soit-il.
Toutefois, huit ans plus tard, les rapports entre Sonny et Calogero (alors âgé de 17 ans) sont toujours aussi étroits. De fait, le truand exerce une influence plutôt bénéfique, dans la mesure où il empêche son protégé de se laisser entraîner dans des activités répréhensibles par sa bande de copains racistes et irresponsables, en particulier Slick et Crazy Mario.
Un jour, Calogero rencontre Jane, une jolie étudiante noire. Mais l’attaque par ses copains de quelques cyclistes noirs traversant imprudemment leur territoire menace leur histoire d’amour. Là encore, Sonny encourage Calogero à faire sa cour, allant jusqu’à lui prêter sa rutilante voiture afin d’impressionner sa belle. Sur ces entrefaites, la bande décide une expédition punitive avec cocktails Molotov contre le quartier noir. De peur de passer pour un lâche, Calogero se laisse embarquer. Une fois de plus, Sonny intervient, lui interdisant de commettre cette folie et lui sauvant du même coup la vie : en effet, l’équipée vire au drame et tous ses copains meurent dans l’explosion de leur voiture. Peu après, Calogero, consterné, assiste à l’assassinat de Sonny par le fils de l’homme qu’il avait abattu huit ans auparavant. Un autre «parrain» viendra aussitôt le remplacer : Carmine, l’automobiliste qu’il avait empêché d’être massacré à coups de batte de base-ball, au cours du même incident.
Toutefois, huit ans plus tard, les rapports entre Sonny et Calogero (alors âgé de 17 ans) sont toujours aussi étroits. De fait, le truand exerce une influence plutôt bénéfique, dans la mesure où il empêche son protégé de se laisser entraîner dans des activités répréhensibles par sa bande de copains racistes et irresponsables, en particulier Slick et Crazy Mario.
Un jour, Calogero rencontre Jane, une jolie étudiante noire. Mais l’attaque par ses copains de quelques cyclistes noirs traversant imprudemment leur territoire menace leur histoire d’amour. Là encore, Sonny encourage Calogero à faire sa cour, allant jusqu’à lui prêter sa rutilante voiture afin d’impressionner sa belle. Sur ces entrefaites, la bande décide une expédition punitive avec cocktails Molotov contre le quartier noir. De peur de passer pour un lâche, Calogero se laisse embarquer. Une fois de plus, Sonny intervient, lui interdisant de commettre cette folie et lui sauvant du même coup la vie : en effet, l’équipée vire au drame et tous ses copains meurent dans l’explosion de leur voiture. Peu après, Calogero, consterné, assiste à l’assassinat de Sonny par le fils de l’homme qu’il avait abattu huit ans auparavant. Un autre «parrain» viendra aussitôt le remplacer : Carmine, l’automobiliste qu’il avait empêché d’être massacré à coups de batte de base-ball, au cours du même incident.
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