Les kamikazes
★★★☆☆
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Synopsis
25 octobre 1944 : aux commandes de son « Zéro » le contre-amiral Masamufi Arima s’écrase volontairement sur le pont du porte-avions Franklin, au large des Philippines. Le premier Kamikase vient de faire son entrée sur le théâtre de la guerre.
Un tradition séculaire est à l’origine du corps d’élite par excellence de l’armée japonaise au cours de la Seconde Guerre Mondiale.
Ces pilotes-suicide, les Kamikaze, cultivent en effet l’esprit de leurs ancêtres qui, au Xlllème siècle, furent sauvés de l’invasion mongole par l’intervention miraculeuse de deux ouragans. En 1944, alors que l’Empire japonais est au bord de la défaite et recule sur tous les fronts, le vice-amiral Onishi décide de créer ce corps de volontaires prêts à mourir pour l’Empereur en jetant leurs appareils sur les bâtiments américains.
Les Kamikaze attaquent notamment dans les îles Salomon, aux Marianes, à Saipan… A Leyte, ils coulent plusieurs gros navires de guerre.
Respectant le rituel traditionnel, proche de celui des Samouraï, ils infligent de lourdes pertes à leurs adversaires, que leurs attaques en piqué terrorisent. Eux mêmes perdent des centaines des leurs. De moins en moins aguerris, faute de temps, ces pilotes sont sacrifiés en vain : le 15 août 1945, le Japon capitule.
Les derniers Kamikaze se suicident, à l’exemple de leur chef et fondateur, l’amiral Onishi, qui se fait hara-kiri en demandant pardon aux âmes des pilotes disparus.
Un tradition séculaire est à l’origine du corps d’élite par excellence de l’armée japonaise au cours de la Seconde Guerre Mondiale.
Ces pilotes-suicide, les Kamikaze, cultivent en effet l’esprit de leurs ancêtres qui, au Xlllème siècle, furent sauvés de l’invasion mongole par l’intervention miraculeuse de deux ouragans. En 1944, alors que l’Empire japonais est au bord de la défaite et recule sur tous les fronts, le vice-amiral Onishi décide de créer ce corps de volontaires prêts à mourir pour l’Empereur en jetant leurs appareils sur les bâtiments américains.
Les Kamikaze attaquent notamment dans les îles Salomon, aux Marianes, à Saipan… A Leyte, ils coulent plusieurs gros navires de guerre.
Respectant le rituel traditionnel, proche de celui des Samouraï, ils infligent de lourdes pertes à leurs adversaires, que leurs attaques en piqué terrorisent. Eux mêmes perdent des centaines des leurs. De moins en moins aguerris, faute de temps, ces pilotes sont sacrifiés en vain : le 15 août 1945, le Japon capitule.
Les derniers Kamikaze se suicident, à l’exemple de leur chef et fondateur, l’amiral Onishi, qui se fait hara-kiri en demandant pardon aux âmes des pilotes disparus.